«Après la nouvelle pluie dans les montagnes vides, le temps est tard en automne.» Le soir, je me suis éloigné de la ville animée, tenant un parapluie, à la recherche d'un endroit calme. Rencontré par le lac Puzhehei, est venu au pied de la montagne Qinglong. Une couche de voile était enveloppée sur le lac brumeux, flottant et flottant comme une banderole sur une fée. Un bateau plat rentrant tardivement de la pêche est fascinant et disparaît sur le lac.

　　Marchant sur le talus, la brise vint, levant la tête à leur rencontre, respirant profondément la brise fraîche du lac, comme si elle buvait un verre de vin épais, doux et ivre.

　　Les montagnes voisines sont couvertes d'un voile de mystère qui semble ressentir le froid de l'automne, mais il semble qu'il ne veut pas cacher sa fermeté et sa droiture. Le village voisin était caché entre les montagnes et le lac, et de temps en temps il y avait quelques aboiements de chiens. Soudain, j'ai eu l'impression que les montagnes et les eaux ici sont une paire de partenaires intimes qui ont nourri la vie ici pendant des milliers d'années. Le mari garde cette maison avec son corps majestueux, et la femme crée une vie heureuse avec ses mains diligentes.Les enfants ici sont reconnaissants et continuent à ajouter de l'éclat à cette maison par leurs propres efforts, montrant l'harmonie et le bonheur ici au monde extérieur. Les montagnes sont reliées à l'eau, l'eau entoure les montagnes, les villages sont parsemés et la brume est imprégnée.Cette sensation de brume a une sorte de confort d'être dans un pays féerique, ce qui est rafraîchissant.

　　Soudain, j'ai senti un parfum rafraîchissant de fleurs. Ah! Il s'est avéré être le parfum floral de l'osmanthus, accueilli avec le parfum, et est arrivé au quai sans le savoir. La première chose qui attire votre attention est quelques osmanthus. Les osmanthus sont pleins d'osmanthus d'or, comme des grains de tissu brodé vert. L'or sur le dessus est comme de petites poupées, épluchant les feuilles vertes et regardant avec un sourire. À ce moment, le quai a depuis longtemps disparu de la foule pendant la journée. Quelques bateaux à feuilles gisaient tranquillement sur le ferry, et les bateliers avaient déjà récolté leur pulpe. Peut-être qu'au moment où ils chantaient et chantaient, peut-être bavardaient sous l'arbre d'osmanthus au doux parfum, goûtant peut-être les délices des montagnes et des mers ici, après tout, c'est une terre de poisson et de riz, peut-être ...

　　La pluie ne s'est pas arrêtée, et elle s'égarait toujours au hasard. Je suis monté sur le quai et me suis penché sur le bâtiment pour écouter la pluie d'automne. La pluie à cette époque n'était pas aussi délicate et douce qu'une pluie de printemps, ni aussi audacieuse et chaude qu'une pluie d'été, mais c'était si paisible et élégant. La brume flottant à la surface du lac commença à se diffuser dans les environs, et une brise passa, et la brume mélangée au parfum de terre fraîche soufflait vers le visage, le sens était condensé et élégant comme de la poésie. Je veux trois points de la grâce de Yi'an, trois points de l'héroïsme de Dongpo, trois points de l'indifférence de Tao Qian, trois points de la largeur d'esprit de Li Bai, et trois points de l'humeur de Nalan. Quel plaisir de se rattraper, de venir écouter la pluie naturelle.

　　Peut-être que la brise a blessé la peau délicate de Mlle Yu. La pluie est devenue progressivement plus petite. De l'eau coulait de l'avant-toit du pavillon du quai, comme des perles cassées, "tique tique ..." une à une, ils ont claqué sur la plaque de pierre bleue. La moindre plainte, seulement une gratitude sans fin. C'est cette terre qui nourrit toutes choses, et la pluie a l'occasion de leur donner de la vitalité. Respectez-vous et ne vous arrêtez jamais.

　　La pluie s'est arrêtée, je voulais juste fredonner une petite chanson, mais j'avais peur de rompre la tranquillité ici, et j'ai continué à me promener sur le chemin du retour. Plus je m'approchais du village, le brouillard disparaissait peu à peu. J'étais encore sous la pluie brumeuse tout à l'heure. Soudain, il y avait une sorte de «montagnes et rivières lourdes, et il n'y a pas d'issue, et les saules et les fleurs montrent un autre village». En regardant autour de vous, le riz doré du champ a mûri et des taches de jaune or clair sont dispersées sur tout le champ. Plusieurs maisons semblent sillonnées de petites routes, les restaurants sont sillonnés et les fermes fument.

　　Le ciel est froid et brumeux en automne, et il y a d'innombrables sommets et montagnes proches et lointains. Venez explorer librement l'eau d'automne dans l'environnement secret, et la maison est comme un jardin. Je pense que le "Printemps des fleurs de pêcher" écrit par Tao Yuanming sous la dynastie des Jin de l'Est peut être caché ici. Je ne sais pas quel maître l'a remis, et a éclaboussé Puzhehei dans un paysage et une peinture à l'encre pastorale avec ses techniques d'un autre monde.